NOIR / THRILLER / FANTASTIQUE

Chroniques de "L'Homme Maigre"


Luce Basseterre a donné son avis sur L’Homme maigre sur Goodreads5 étoiles
Une ballade poétique et étrange, sur fond de blues et à l''ambiance délicieusement glauque : un petit bijou



 Avatar Julie-Alice_Black

Critique publiée par le

L’Homme maigre c’est l’histoire relativement classique en littérature fantastique, de la créature mi humaine qui se confronte à l’homme souvent beaucoup plus monstrueux que celui qualifié de « monstre ».Même si c’est un schéma assez courant qui trouve racine dans des mythes tel que celui de la créature du docteur Frankenstein, L’homme maigre apporte une originalité par sa modernité et par l’incursion d’un autre genre : le thriller. Ancré dans notre temps et dans une urbanité lyonnaise réaliste, ce petit roman de 200 pages nous plonge dans ne modernité rare dans le domaine qui apporte une touche de crédibilité au récit fantasque, mêlant en plus des références pop culture intéressantes. Et, même si on ne s’attend pas à croiser Djool, cet être hybride, au coin d’une rue, cet ancrage dans la réalité nous permet une analyse de notre propre société et de l’humanité actuelle. J’apprécie toujours cette réflexion sur l’animalité de l’homme et l’humanité des « monstres » de la littérature. Même si [...]

Pour lire la suite de cette critique, rendez-vous sur yuyine.be !


doc_naud
22 mars 2017


J'attendais beaucoup de ce livre. La 4ème et l'excellente couverture m'avaient déjà immergé dans une certaine ambiance et avaient posé les contours d'un personnage que j'espérais fort. J'appréhendais un peu que ce soit un leurre, comme c'est trop souvent le cas. Et bah non.
Je ne connaissais pas Xavier Otzi (et pour cause, c'est son premier roman), je découvre un auteur plein d'imagination, possédant une belle force d'évocation et capable de créer non pas quelques lignes poétiques à l'aide d'un style particulier, mais une oeuvre-objet poétique (ce que j'admire encore plus). Il ne faut pas chercher les belles formules ou les effets de styles ravageurs dans l'Homme Maigre, il y en a peu, mais il faut accepter le récit complet comme la version nuancée, moins péremptoire, d'une parabole touchante et dérangeante (la 4ème de couverture parle justement de conte moderne) [...]

Pour lire la suite :
https://www.babelio.com/livres/Otzi-Lhomme-maigre/914600


Un roman découvert lors de la Masse Critique Babelio de Février : L'Homme Maigre de Xavier Otzi publié aux Editions Luciférines. Une belle découverte qui m'a sortie de ma zone de confort.

J'ai pu lire ce livre à l'occasion de la Masse critique Babelio du mois de février. Le résumé et la couverture du roman m'avaient tout de suite séduite mais j'avoue que je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec cette lecture.

Dès les premières pages on est pris dans une atmosphère très sombre voire même lugubre, par moments, et la touche de fantastique qui pointe le bout de son nez est bienvenue et accentue le côté sombre de l'intrigue. Sans compter sur le personnage de Djool qui vit seul dans un cimetière [...]


Pour lire la suite :
http://reveuseeveillee.blogspot.fr/2017/04/lhomme-maigre-de-xavier-otzi.html 



Le monde enchanté de mes lectures, Alouqua
29 mars ·
Voici mon avis sur "L'homme maigre" de Xavier Otzi paru aux Editions Luciférines
Avec ce livre, je découvre non seulement un auteur, mais également un éditeur. Eh oui, j’avoue, c’est mon baptême aux éditions Luciférines dont je ne connaissais que le nom. Honte à moi, je sais.

Dès le départ, nous sommes plongés dans une ambiance étrange en regardant la couverture. Ensuite, on lit le résumé, et là on a l’impression de déjà vu (du moins moi je l’ai eue). Et pourtant, lorsque l’on débute la lecture, on comprend très vite que cet effet de déjà vu est loin d’être vrai, bien au contraire.
L’auteur a réussi à se construire un univers bien à lui, un univers que l’on pourrait croire très sombre en regardant la couverture [...]

Pour lire la suite :
https://lmedml.com/2017/03/29/lhomme-maigre-xavier-otzi/



8 commentaires

Merci à Babelio et aux éditions Luciférines pour l’envoie de ce livre. Je m’excuse pour mon absence sur le blog, mais plus qu’une semaine et je serai enfin libre. Je vous retrouve donc avec une chronique sur un livre qui me tentait énormément et donc le résumé est très alléchant. Malheureusement, je pense être un petit peu passée à côté [...]

EN BREF
Un livre avec une ambiance très étrange mais qui pourrait plaire aux amateurs de thriller, même si ce genre n’est pas énormément développé dans le récit. 

Merci à Babelio et aux éditions Luciférines pour l’envoie de ce livre. Je m’excuse pour mon absence sur le blog, mais plus qu’une semaine et je serai enfin libre. Je vous retrouve donc avec une chronique sur un livre qui me tentait énormément et donc le résumé est très alléchant. Malheureusement, je pense être un petit peu passée à côté  [...]
Pour lire la suite :
https://smoochybooks.wordpress.com/2017/03/27/lhomme-maigre-xavier-otzi/ 




Moro 27 mars 2017

J'attendais moi-même avec beaucoup d'impatience la sortie de ce livre au synopsis aussi original qu'intrigant. Djool est mi-homme mi-animal et travaille dans un cimetière tout en essayant d'apprivoiser sa nature humaine, encore balbutiante. Il va rapidement intéresser malgré lui Konrad, un taxidermiste plus qu'étrange obnubilé par la création de chimères … Petit détail mais la couverture (outre une superbe illustration) est vraiment très douce, ressemblant presque à de la peau humaine, ce qui sied bien au récit…
Je ne saurais dire avec certitude ce qui m'a tant plu dans ce livre ; une chose est sûre, la douceur de la plume y est pour beaucoup. C'est un style vraiment très original, très personnel, mais je ne saurais pas dire en quoi exactement, c'en est presque perturbant ! Ce qui est sûr c'est que c'est un régal à lire [...]


Pour lire la suite :
https://www.babelio.com/livres/Otzi-Lhomme-maigre/914600/critiques/1289927




Publié le par Maude Elyther :
 
Avec pour thèmes l'animal, l'homme, les chimères (notamment ici par leur création), je ne pouvais pas passer à côté de ce (premier) roman de Xavier Otzi, paru aux Editions Luciférines en février 2017 !
L'Homme Maigre relate la rencontre de deux êtres totalement différents : un hybride, fossoyeur de profession, et un taxidermiste, obsédé par la réalisation de sa plus grande Œuvre.
Le premier est touchant par sa quête d'humanité qui ne le fait pas même s'interroger sur sa nature particulière, alors que le second, au travers de sa routine perfectionniste, cherche la reconnaissance, pour sortir de l'ombre de la figure de son père. Une amitié atypique vont les mener tantôt à quelques confessions, tantôt à des scènes assez fantasques[...]

Pour lire la suite :
http://maude-elyther.over-blog.com/2017/04/l-homme-maigre-xavier-otzi-ed.luciferines-fevrier-2017.html 



Marianne Stern, le 6 mai 2017 Point lecture #3 !

(...) Enfin, L'Homme maigre, de Xavier Otzi, aux éditions Luciférines. Deux coups en un, d'une part j'ai découvert la plume de Xavier et d'autre part, cette petite maison d'édition. Plein d'ingrédients pour me séduire dans ce roman fantastique, à commencer par un cimetière, des cadavres, de la guitare et du blues. En plus, on est en terrain connu, une partie de l'histoire se déroule à Lyon :) C'est très sympa, il y a une ambiance assez malsaine qui m'a plu, et le personnage de Djool, atypique. J'ai cependant trouvé les deux persos principaux assez antipathiques (mon aversion pour les vers y est sans doute pour quelque chose, je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler), et j'ai adoré Toni ! Une belle découverte.


 Aaron Judas à Boulbon.
J'ai lu L'Homme Maigre de Xavier Otzi et j'ai adoré! À l'image de son personnage principal ce roman hybride saura vous surprendre et vous transporter à la croisée d'univers variés, le style est limpide et aussi direct qu'un morceau des Ramones! 🤘
L'été approche et je ne peux que vous conseiller de vous procurer ce livre qui ne prendra pas beaucoup de place dans vos valises.

 

lundi 12 juin 2017


L'homme maigre, Xavier Otzi. Le Livroscope, AnGee.

Dans Le Livroscope, AnnGee propose une lecture très détaillée et enthousiaste de "L'Homme Maigre". Je n'en reproduit ici qu'un extrait, mais je mets à votre disposition ci-dessous le lien vers cet article long et fouillé, je trouve. 


Mon gros coup de coeur dans ce roman réside sans aucun doute dans l'intrigue, que j'ai trouvée particulièrement bien maîtrisée. Xavier Otzi sait où il va, c'est réfléchi, et tout nous amène vers le dénouement final. Ce que j'aime beaucoup, c'est qu'il se passe beaucoup de choses, on ne s'ennuie pas, mais en même temps il prend le temps de poser les choses, de poser une ambiance, d'installer ses personnages. J'ai vraiment beaucoup aimé ma lecture grâce à cette intrigue difficile à lâcher.



Konrad et Djool forment un duo de personnages très intéressants. On pense, au début, qu'on ne pourra pas trouver plus étrange que Djool, cet être si à part, si mystérieux, un peu pathétique et malheureux, qui vit reclus, à l'écart du monde. Et plus on découvre Konrad, plus on se rend compte qu'il est tout autant, si ce n'est plus, particulier que Djool. C'est intéressant de suivre l'évolution de leur relation, surtout lorsqu'on voit où ça les mène... 




http://livroscope.blogspot.fr/2017/06/bonjour-tous-et-toutes-je-suis-angee-du_12.html
 

L’homme maigre ○ oligochète fantasque. Rafaelle.

C’est une histoire d’horreur originale et délicate que nous offre Xavier Otzi sous la peau douce de ce court roman des Luciférines.
Qui est donc vraiment Djool, le paisible gardien de cimetière ? Que révélera le mystérieux contenu de sa brouette qu’il épand au fil des allées ? Et pourquoi craint-il tant les oiseaux ?

Ce roman policier veiné de fantastique – à moins qu’il ne s’agisse d’un roman fantastique vernis de policier –, sis dans un Lyon contemporain aux allures de coupe-gorge, sacrifie aux codes du genre : taxidermiste cynique, tannerie dans les bois, flic en sevrage, mafieux pathétique, tragédie familiale, manipulations, coups bas et trahisons (on regrette le peu de présence des personnages féminins). On en retient surtout l’atmosphère personnelle et persistante de peaux et de fourrures, d’air de blues, de goût de terre noire. Les personnages dérangés, curieusement attachants, se révéleront d’une étrangeté bien plus abominable. Le protagoniste achève de placer à part ce récit : être à ma connaissance jamais décrit auparavant en fiction, mélancolique et doux (la plupart du temps), il pose la question : qu’est-ce qu’être humain ?
Une fable sur les frontières de l’humanité.

https://rafaellegm.wordpress.com/2017/05/12/lhomme-maigre-%E2%97%8B-oligochete-fantasque/


La Citadelle d'Ewylyn, 12 juillet 2017.

"Vous l'aurez compris, ce roman évoque un peu une sorte de Frankenstein moderne, dans une atmosphère noire et sombre, dans un ton parfois cynique et oppressant. Il pose la question de l'animalité de l'homme, le tout est original, la plume incisive et particulière. Il est déconcertant à lire et rien que pour ça, il mérite d'être découvert."

https://la-citadelle-d-ewylyn.blogspot.fr/2017/07/gulf-stream-editeur-la-boiteuse-grard.html 


A Farth Blogcasting Network. 15 mai 2017.

Une chronique de Farth que je ne découvre qu'aujourd'hui...

Ce que j'en ai pensé. Lue quelques jours avant de rencontrer l'auteur au salon Livre Paris, la nouvelle « Les pourris » m'avait laissé une très bonne impression car elle renouvelait un peu le thème du zombi. De plus, son ton assez léger tranchait avec ce que l'on trouve habituellement dans ce genre d'histoire. Je partais donc avec un a priori très favorable pour ce roman.
Au premier abord, tout est très différent, que ce soit dans le ton donné que dans le fond du roman. Celui-ci s'apparente plus au polar avec une intrigue bien construite et les élements auxquels on peut s'attendre dans ce genre. S'il est donc plus classique dans sa construction, il n'en demeure pas moins que le récit s'en démarque en n'étant pas centré sur l'enquêteur mais sur l'élement fantastique en la personne de Djool. Alors que souvent, le polar va s'enfoncer petit à petit dans le fantastique, ici c'est en partant de la créature de l'homme maigre que l'on va dériver vers le polar. En ce sens, c'est assez original et cela justifie amplement la lecture du roman.
Sans chercher d'explication véritable au phénomène, l'auteur va s'attacher à décrire le ressenti de la créature et son intégration au monde des humains. Il parvient d'ailleurs à développer un sentiment d'empathie assez fort avec elle.
C'est donc un très bon premier roman, non dénué de défauts par moment dans le rythme mais c'est plus anecdotique qu'autre chose, et un auteur à suivre dans l'avenir.

http://blog.farth.org/post/l_HommeMaigre/

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